Les sulfates sont des ingrédients synthétiques issus de la réaction combinée de l’acide sulfurique et des acides gras provenant souvent d’huile de coco ou d’huile de palme.
Ils ont une action détergente et, au contact de l’eau, moussent en émulsionnant les corps gras.
Le Sodium Lauryl Sulfate (SLS), un des sulfates les plus courants et qu’on retrouve dans de nombreux cosmétiques, est par exemple aussi utilisé comme détergent industriel pour les sols, les murs et les moteurs grâce à son fort pouvoir dégraissant.
Les sulfates :
• Détériorent les protéines de la peau, provoquant tiraillements, inflammations, etc.
• Détruisent les lipides cutanés servant à maintenir la peau hydratée. En altérant les protéines de la peau, les détergents sulfatés ouvrent également la voie à d’autres molécules cancérigènes ou toxiques.
• Les résidus de sulfates sont de plus capables de pénétrer dans les tissus et se fixer autour du coeur, du foie ou du cerveau.
• Utilisés au quotidien, ils provoquent la surproduction de sébum sur le visage et peuvent faire apparaître des points noirs. Sur les cheveux, ils graissent les racines, dessèchent les pointes et favorisent également la chute des cheveux.
• Le Sodium Lauryl Sulfate se montre particulièrement nocif pour les enfants. Rapidement absorbé par l’oeil, il peut y rester présent pendant 5 jours.
Les sulfates sont considérés comme irritants dès 0,5%* de concentration et l’on trouve jusqu’à 30% de concentration dans certains produits sur le marché ! On estime que plus de 90% des shampooings et gels douche contiennent du Sodium Lauryl Sulfate (SLS) !
Il faut arrêter de penser que « plus ça mousse, mieux c’est ! ».
Après quelques temps sans sulfates, vous constaterez que l’on s’en passe très bien. En connaissance de cause, évitez les produits contenant du Sodium Lauryl Sulfate, du Sodium Laureth Sulfate (interdit en cosmétique bio) et de l’Ammonium Lauryl Sulfate.
C’est pourquoi, depuis 2016, Pur’Aloé formule tous ses produits SANS SULFATES !
* : International Journal of Toxicology – Volume 2, issue 7, December 1983